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DE L'AUTRE CÔTÉ DU BANC

Des histoires de banc...

Trio de pastilles chorégraphiques par deux interprètes, durée 30 minutes.


SUR le banc, des tranches de vie, de l’intime et du quotidien, en corps et en désaccord.

DERRIÈRE le banc, des souvenirs qui révèlent les traces d’une mémoire populaire.

Le public et les passants se retrouvent face à deux femmes, postées sur un banc de quartier.

Le voyage immobile peut commencer.
 

Nous les invitons à regarder avec plus d’attention cet objet qui passe souvent inaperçu et se laisser toucher par une succession de saynètes qui nous parlent d’un quotidien singulier : celui du banc public.
Ces pastilles chorégraphiques s’appuient sur la symbolique forte de cet objet quotidien.

De l’autre côté du banc dévoile un espace public libre et intime où l’on a le droit de s’asseoir, prendre le temps, rêver, se rencontrer, échanger, être à l’arrêt, se retrouver, contempler, haranguer, ne rien faire et tout dire.

L'IDÉE ?

L'usage des bancs publics dans la réappropriation de l'espace public

Rester chez soi nous pousse à questionner nos espaces de libertés et d’expressions. Prendre l’air dans son quartier soudain silencieux et aller s’assoir sur LE banc public en bas de chez soi prend tout à coup un air de grande virée.

 

Pour nous, la réappropriation de l’espace public passe indéniablement

par cette assise universelle qui inspire à ralentir. Prendre le temps,

échanger, contempler, méditer avec ce vieil ami qui en connait un rayon

sur la vie.

En ce contexte incertain, il prend tout son sens. 

Investir un mobilier urbain accessible à TOUS lorsque les lieux d’exposition

et de spectacle sont contraints, nous permet d’affirmer concrètement

un besoin de ralentir, de s’émouvoir, et de se ré-approprier son quartier.

 

Ces espaces de rencontre nous voulons les investir, les revaloriser et

les sauvegarder. 

Nous accordons une grande importance à la mémoire, au collectage et à

la transmission d’histoires locales.

Pour faire ensemble nous devons nous appuyer sur les expériences de

chacun et permettre des transmissions entre générations et

catégories sociales trop souvent séparées.

Nous souhaitons mettre en lumière « Le banc public » sous différentes

formes afin d’interroger et de préserver le lien social qu’il incarne.

Son accessibilité, son histoire et son rôle social lui donne de fait une

place fondamentale pour reconstruire ensemble l’espace public

et réinventer le rapport à l’autre.

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CLOTILDE AMPRIMOZ

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ACTIONS CULTURELLES AUTOUR DE LA CREATION

Nous avons depuis Août 2020, malgré les conditions sanitaires, réussi à mener différentes actions culturelles avec les jeunes du Corum St Jean :

  • Des ateliers artistiques dansés autour du banc public

  • Une représentation au sein de leur établissement

 

  • Une sortie au festival les Contre-Plongées pour assister au spectacle La ligne S, variation in situ de la compagnie Arkhè

​​

  • 17/12/2020 L’association ChoréActif, en partenariat avec Nogozone, a proposé une visioconférence à l’UFR STAPS dans le cadre du Master 2 CEDESRI : Conception, développement et animation des espaces récréatifs innovants, dans le cadre de « Créativité territoriale et culturelle »                                                                                               

Toutes les médiations culturelles ainsi que les résidences faites et à venir sont très importantes pour l’équipe et le projet

« De l’autre côté du banc » car toutes les expériences vécues se nourrissent les unes des autres et s’entremêlent.

 

Le projet "De l'autre côté du banc" s'est mis en place dans l'été entre fin juillet et début août à Clermont-Ferrand avec le soutien de la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes (Subvention Prendre l'air (du temps) ) et le Corum St Jean.

Corum Saint-Jean
Corum Saint-Jean
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MATHILDE FRANQUES

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